Première guerre mondiale : les Français sur le front du Piave

16 commentaires

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  Nicole Padovani-Holmes

  11 août 2014 à 22 h 10 min Répondre

  Bonsoir,

  je suis la petite fille d’un soldat Francais Paul Gerbier, le pere de ma mere. Il s’est retrouve en Italie de Novembre 1917 a Novembre 1918. Je suis entrain de scanner plus de 500 cartes dont une 100 ecrites entre 1917 et 18 entre lui et ma grand’mere. Il a ete commotione, durant une operation ou il devait apporter des communiques d’une tranchee a une autre le 12 juin 1918, trouve par des Anglais, il retournera sur le front en Juillet 1918. En aout 1918, il semble frapper de tres forte fievre qui deviendra une encephalite aigue. Son histoire de malade mental ne fait que commencer. Il sera transporte a l’hopital Francais de Borgognone en Aout 1918 et y restera jusqu’en decembre 1918. Apres 41 ans de vie a passer d’un hopital psychiatrique, et bien d’autres miseres, etc il se sucidera le 31 janvier 1949. Je suis nee en janvier 1946. Tellement a raconter a mettre sur papier. Je le fais depui plus de 10ans. Donc, ce petit film me montre se que mon grand’pere a vecu en soldat avec les Italiens, les Anglais aussi sur le Piave en juin 1918

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    venarbol

    11 août 2014 à 22 h 32 min Répondre

    Merci pour ce témoignage poignant qui illustre les horreurs de cette guerre.

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    alineC20

    5 septembre 2015 à 16 h 56 min Répondre

    Bonjour,
    Mon père, 8 ans, et sa soeur, 11 ans,se sont retrouvés seuls expulsés de leur maison et orphelins à San Fior sous les feux de la bataille du Piave. Il n’arrivait pas à en parler sans pleurer mais il a raconté, par bribes, des scènes terribles :comment certains soldats allemands, pris de pitié leur donnaient un peu de soupe, comment d’autres crachaient dedans auparavant, d’autres les poursuivaient et leur tiraient dessus quand ils tentaient de voler quelques épis de maïs dans les champs et d’autres qui ont violé sa soeur sous ses yeux ; comment ils dormaient dans un tonneau avec un peu de paille, infestés de poux.
    J’aimerais retrouver des témoignages, lettres de soldats français, italiens ou allemands … Et des journaux de marche des troupes en contact sur la région de San Fior.
    Besoin de comprendre, de mettre des mots sur les horreurs qu’on lisait dans ses yeux et qui l’ont hanté jusqu’à la fin de sa vie.
    Un grand merci

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  naboulet eric

  12 février 2015 à 18 h 40 min Répondre

  bonjour ,sur l ossuaire le nom de naboulet justin est mal orthographier ,son vrai nom est naboulet julien c etait mon aieul

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    venarbol

    12 février 2015 à 18 h 46 min Répondre

    Bonjour,
    Merci pour ce commentaire. Je rectifie l’orthographe dans la liste. Avez-vous retrouvé des témoignages sur ce que votre aïeul a vécu sur le front du Piave, avant d’y mourir ?

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    Gianni Peltrin

    10 février 2016 à 9 h 12 min Répondre

    Cher Eric, je viens de faire une recherche au sujet des soldats français morts à Montecchio Maggiore (province de Vicenza), où il y avait l’ambulance 227.
    Je vous prie de me contacter par email gp@interplanet.it
    Merci
    Gianni Peltrin

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  Artigalas Armand

  27 avril 2015 à 22 h 54 min Répondre

  Quelle surprise de trouver dans ce blog, en 2 endroits très différents, les noms de famille de ma branche française (Artigalas) et de l’autre, italienne de Vénétie (Guadagnin)… Remarquable coïncidence, qui se double de la présence de deux parents à la même bataille du Piave, fin octobre 1918.
  Emilio GUADAGNIN y participa en tant que Bersaglier; je n’ai pas sous la main les précisions sur son régiment et les opérations où il fut engagé. Il émigra en France en 1930 avec ses 4 premiers enfants (ma mère Giovanna en est l’ainée) de sa famille de 9 enfants. Il passa sa vie active d’agriculteur en tant que métayer, de ferme en ferme dans le Lot-et-Garonne. Sa dernière exploitation s’est située à Sainte Marthe
  Jérôme ARTIGALAS, est né à… Sainte Marthe ! Troisième coïncidence, quasi miraculeuse. Il a été engagé dans dans le 107è Régiment d’Infanterie, qui a participé à la bataille du Piave, en tant que clairon de 1ère classe. Son fait d’armes est d’avoir relancé au clairon les vagues de soldats français qui devaient de toute force escalader la falaise tenue par les autrichiens ; position qui permettait de mitrailler les assaillants. Sa fougue à sonner la charge a permis d’emporter la position stratégique, puis de repousser les armées autrichiennes, faisant de très nombreux prisonniers et saisissant un très gros stock de canons de tous modèles. Jérôme Artigalas y laissa la vie : la balle qui lui fracassa la tête perça avant le pavillon de son clairon. Il fut cité à une médaille militaire de haut niveau, à titre posthume, et a été le seul soldat “du rang” à obtenir cette citation. L’issue victorieuse pour les Alliés de cette bataille du Piave a entraîné la capitulation de l’Empire Austro-Hongrois le 4 novembre, laissant l’Allemagne toute seule dans la guerre… qui capitula à son tour une semaine plus tard, le 11 novembre 1918. Escalades décisives donc de ces falaises du Piave. Le 107ème RI a adopté comme insigne un écusson tricolore en losange, contenant un clairon et le nom ARTIGALAS. Une rue d’Angoulème où était basé ce régiment avant sa dissolution porte également le nom de ce soldat.
  Les familles Guadagnin et Artigalas ont exploité dans les années 1940 à 1960 des terres avoisinantes à Sainte Marthe, et c’est là que Roger Artigalas et Giovanna Alba Guadagnin se sont connus puis mariés en 1948, 2 premiers enfants naissant dans ce village, les 4 autres venant plus tard.
  PS : le nom de Jérôme ARTIGALAS ne figure pas dans la liste des “morts pour la France” du monument de Sainte Marthe, oubli qu’il faudra faire corriger, et je vais m’en occuper.
  Merci au blog Vénarbol de m’avoir permis de retrouver la trace des Guadagnin remontant au XIIème siècle, en faisant des recherches sur Jérôme Artigalas, Clairon du 107è RI.

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    venarbol

    27 avril 2015 à 23 h 29 min Répondre

    Merci pour ce commentaire. Quelle coïncidence en effet que ces deux aïeux nés pourtant loin l’un de l’autre, mais qui ont combattu côte à côte et dont les descendants se sont unis ! Je suis ravie de savoir que mon petit blog vous a aidé à retrouver le chemin de vos ancêtres de Vénétie.

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    Antonio

    17 août 2016 à 23 h 00 min Répondre

    Hi,
    I’m writing from Italy and I’m looking for a search about the Great War.
    I know that Jerome Artigolas was killed a Pederobba, near Treviso and your name is write on Sacrario di Pederobba.
    Do you have a picture about Jerome in uniform of the 107° infantry regiment?
    Thank you very much for your attention.

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  Lebeau

  13 juillet 2015 à 18 h 20 min Répondre

  Bonsoir,

  Mon arrière grand oncle Jules André Dupin et mort sur le front de la Piave dans la nuit du 26 au 27 octobre 1918, son corps n’a jamais été retrouvé et il n’est pas inscrit sur le monument au mort fait en 1937 plus haut. Si vous pouvez m’aider voici plus d’info : Il était adjudant au 107ème régiment d’infanterie, née dans le 33(Gironde).

  Merci,

  Cordialement

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  Gianni Peltrin

  13 avril 2016 à 15 h 06 min Répondre

  Je voudrais contacter ERIC NABOULET, au sujet de JULIEN NABOULET, decedé à l’ambulance 227 de Montecchio Maggiore qui fonctionnait près l’Ecole Communale, toujours existant.
  Mail: gp[ at ]interplanet.it

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    naboulet

    31 août 2016 à 8 h 58 min Répondre

    BONJOUR je suis monsieur naboulet eric vous pouvez me contacter a l adresse mail suivante :ericnaboulet@orange.fr

• Ping :

  27 mars 2018 à 16 h 45 min

  Ringuet Jean 27 ans – IN MEMORIAM
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  DOUGE Olivier

  22 août 2019 à 14 h 12 min Répondre

  Bonjour
  Sous-officier tradition au 6ème Régiment du Génie je recherche tout renseignement concernant le 12ème bataillon du Génie engagé dans les combats en Italie.

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