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Rechercher ses ancêtres italiens (3) – Au-delà des registres en ligne
Les registres italiens consultables en ligne étant encore assez rares, les sites cités dans le second article de cette série ne suffisent pas à retracer une généalogie italienne complète. L’étape suivante consiste donc à se tourner vers d’autres sources d’informations.
Sur internet
- Explorer les sites internet des archives régionales ou provinciales, dont certains donnent accès à des bases de données, comme les listes de leva militare (jeunes hommes recensés pour le service militaire) de la période autrichienne sur les sites des archives de la province de Treviso ou de Venezia…
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WordPress et généalogie – Partie I : design et multilinguisme
Quand j’ai décidé de mettre en ligne mon propre site de généalogie, j’ai bien sûr commencé à regarder ce qu’avaient fait d’autres, ce qui existait sur le marché… (Google est aussi mon ami !)
J’ai utilisé SPIP, mais uniquement en tant que rédacteur et je ne sais ni écrire des boucles, ni concevoir une feuille de style. De Drupal, Joomla… je ne connais que le nom. Je savais que WordPress était une plate-forme de blog très en vogue, mais je ne voulais pas d’un blog. Ma chronique, mon arbre ne se prêtent pas à la réactivité et à l’instantanéité de ce type de support.
C’est alors que j’ai appris que WordPress ne servait pas qu’à mettre en ligne un blog, mais pouvait être utilisé pour faire un site “statique”. -
La généalogie transalpine
Lorsque j’ai commencé à m’intéresser à la méthodologie à suivre pour faire des recherches généalogiques en Italie, j’ai lu très souvent la mise en garde suivante :
“Lorsque vous écrivez en Italie, ne dites pas que vous faites de la généalogie, les Italiens ne voient pas cela d’un bon œil. Dites que vous faites des recherches sur l’histoire de votre famille…”Je ne sais pas si cet avertissement relève de la légende urbaine ou s’il correspond à une réalité, passée ou encore actuelle, mais rien dans ma petite expérience ne m’a permis de le vérifier. Bien sûr, j’ai fait l’expérience d’écrire à des communes ou à des paroisses sans obtenir aucune réponse (même en ayant glissé dans l’enveloppe un billet de 10 euros pour les “bonnes œuvres”), à commencer malheureusement par la commune qui m’intéresse le plus ! Mais j’ai aussi obtenu suite à d’autres contacts des renseignements avec rapidité, amabilité et parfois sans débourser un centime.