histoire
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“Le cadre de la bicyclette est soudé”
Le #geneatheme du mois de mai est consacré à la seconde guerre mondiale, sujet difficile à traiter à plusieurs titres. Tout d’abord parce que paradoxalement, alors que cette époque concerne nos contemporains, il n’est pas simple de récolter des informations auprès de personnes qui n’ont pas forcément envie de raconter ce qu’elles ont vécu. Ensuite parce qu’il est pour nous plus facile de prendre la distance nécessaire avec l’histoire en racontant la vie d’un ancêtre qui a vécu au XVIIIe siècle que celle de nos parents ou grands-parents. Enfin dans mon cas, parce que parler de la seconde guerre mondiale vue depuis l’Italie ne contribue pas à alléger l’atmosphère.
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Quand les parallèles se rencontrent – 2/2
Voilà la seconde partie de mon “jeu des ressemblances” entre les régions de mes ancêtres paternels et maternels : la Vénétie et la Savoie. Il est consacré aux points communs relatifs à l’histoire.
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Pierre Favre, trait-d’union dans ma généalogie
Je reprends, pour l’actualiser, le texte d’un article que j’avais publié en janvier 2012.
Pierre Favre est né en 1506 au cœur du massif des Aravis, à Saint-Jean-de-Sixt, commune alors incluse dans le Duché de Savoie et située aujourd’hui en Haute-Savoie. Il est mort à Rome en 1546, alors qu’il s’apprêtait à être le théologien du pape au concile de Trente. Entre ces deux dates, il a été le compagnon d’études et de chambrée d’Ignace de Loyola et de François-Xavier de Jasso y Azpilicueta à la Sorbonne et au collège Sainte Barbe, il a fondé avec eux l’ordre des Jésuites et il a parcouru à pied quasiment toute l’Europe pour prêcher et tenter de réconcilier les divers courants qui se déchiraient dans le mouvement de la réforme.
Béatifié en 1872, il vient d’être canonisé le 17 décembre 2013 par le pape François, Jésuite lui aussi et qui avait déclaré son estime pour Pierre Favre dans une interview donnée en juin dernier.J’entends déjà les commentaires des lecteurs de ce blog : “mais que vient faire Pierre Favre dans ce blog dédié à une généalogie italienne ?”
La réponse tient en deux points :