acte insolite
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L'olivier de la pedemontana
Tous les généalogistes en font l’expérience un jour ou l’autre : le quotidien de leurs ancêtres n’a pas toujours été “un long fleuve tranquille”. Certains ont connu une vie mouvementée et parfois même une mort violente, accidentelle ou non.
Ma généalogie ne fait pas exception à la règle. J’avais déjà cité dans un précédent article le cas des sosas 384 et 385 de mon père, Bernardo Guadagnin et Maria Bertolo, morts ensevelis par les ruines de leur maison, lors du tremblement de terre du 25 février 1695. Le cas qui m’intéresse aujourd’hui est antérieur de 30 années et concerne le décès accidentel de Zuane Zarantola (ou Zarantolla) (sosa 2022 de mon père), enregistré dans le registre de décès de Romano d’Ezzelino en date du 29 avril 1665 :
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Le bug de l’an 1800
Nous en avons tous fait l’expérience un jour : au moment du changement d’année il est difficile de ne pas se tromper au moins une fois en écrivant la date. Et lorsque c’est le millésime qui change, il est encore plus compliqué de ne pas céder aux anciens réflexes.
Les registres de Borso montrent que le curé n’a pas échappé à ce réflexe conditionné à l’aube de l’an 1800. Il en est résulté quelques pages insolites qui sont parvenues jusqu’à nous, et que je vous présente dans ce billet de nouvel an.
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Mortelles cloches
Au-delà de l’énumération des événements, les pages des registres paroissiaux sont également riches en indications sur la vie quotidienne de nos ancêtres et sur les moeurs de leur époque.
Au fil des pages des registres de décès de Borso del Grappa, un acte plus long que les autres a attiré mon attention.
Il relate le décès accidentel d’un tout jeune garçon :